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  • All Things Must Pass

      • Mixed media 
      • 24 x 24 in. 
      • © 2023
      • Album inspiration: All Things Must Pass, George Harrison
    • "For this painting, I've chosen to evoke George Harrison's album All Things Must Pass, as it holds a very special place in both my personal life and my artistic journey. This album, released in 1970, is considered a monument of pop-folk-rock music, with extraordinary melodic finesse and sensitivity.

      I discovered it in 2011, during my very first visit to San Francisco. I was taking part in an artistic residency that culminated in a gallery exhibition. At the time, I was in the grip of contradictory feelings: I was fulfilling one of my dreams of going to San Francisco, while at the same time mourning the death of someone extremely dear to me. I bought this album in SF first for its evocative title and cover, and listened to it over and over again. This was George Harrison's third solo album, the first released after the Beatles split up. His voice and his words were a great comfort to me... an immense consolation.

      In this painting, intended as an evocation of the album, I have depicted George Harrison as a mischievous fox who has lived several lives. I was inspired in particular by the Yellow Submarine album cover, which made a deep impression on me aesthetically speaking, and especially by the cover of the All Things Must Pass album. This album was George Harrison's favorite, and the cover shows a strange-looking George with his big hat, beard, boots and garden gnomes...as if calmly awaiting the apocalypse.

      This painting also contains nods to Ravi Shankar, with the owl and his zither, and to the logo of Apple Records, the record label created by the Beatles in 1968, with the apples flying all around the protagonists. Like all my paintings, this one is full of other details and symbols that I hope will resonate with those who see it."

      L’enfance de Nicolas Giraud - 100TAUR, né en 1982 à Montauban, est une période magique et synonyme de liberté : après l’école, il s’aventure, armé de ses GI Joe, dans la forêt jouxtant la maison familiale et passe ses mercredis après-midis à dessiner.

      Il découvre l’œuvre de Jean-Auguste-Dominique Ingres au Musée de Montauban en même temps que celle de Tomy Ungerer, avec La grosse bête de Monsieur Racine, véritables chocs visuels pour lui. Dans les dessins animés de super-héros et les comics, il s’étonne du traitement injustement manichéen infligé aux méchants, et se prend d’affection pour ces personnages et leur complexité.

      Après un passage en École de communication visuelle et aux Beaux-Arts, il est pris sous l’aile de Marc Dautry, sculpteur et graveur de renom, qui devient son maître et l’initie aux différentes techniques de la gravure. Pour 100TAUR, l’enfance est un lieu qu’il n’a jamais vraiment quitté. Son atelier est comme une malle aux trésors, sombre et excitante, remplie de taxidermies, livres, jouets et figurines.

      Passionné de techniques et animé par le souci du détail, il envisage son travail de création comme une thérapie qui lui permet d’explorer et rendre visible ce qui est caché, pour mieux l’honorer. Il produit aujourd’hui principalement des toiles figuratives, réalisées à l’acrylique ou à l’huile. Le style de 100TAUR, à la fois empreint d’humour et faussement horrifique, se rattache au mouvement Lowbrow, né aux Etats- Unis, mêlant dans ses influences des éléments propres à la culture populaire et à la peinture classique (Jérôme Bosch, Rembrandt, Le Caravage...). Son travail tourne autour des monstres et de leur histoire.

      Puisant son inspiration tant dans les mythologies du monde entier que dans la littérature fantastique (Edgar Allan Poe, Lovecraft...) et les comics, 100TAUR aime aussi à se réapproprier les tableaux des grands-maîtres de la peinture, sur les toiles comme sur les murs.